Comment qualifier ce roman ? Une romance scientifique et déjantée ?
J'ai beaucoup ri, surtout par le contraste entre les évènements et les gens "coincés" dans leur éducation victorienne.
J'ai beaucoup ri, surtout par le contraste entre les évènements et les gens "coincés" dans leur éducation victorienne.
Une Angleterre qui semble presque normale, à ceci près que des oiseaux fabuleux peuvent y semer la terreur, ils tuent, gèlent, mettent le feu. Et à ceci près aussi que les ornithologues sont encore plus dangereux que les oiseaux. On se tue avec élégance pour parvenir à ses fins (Enfin, on essaie. Il n'y a aucun mort dans l'histoire, mais ce n'est pas faute de brandir des armes.)
Chaque déplacement pour tenter de capturer un oiseau rare se fait avec une armée de valets, de domestiques, des malles à n'en plus finir, et le confort pour chaque ornithologue (mais pas pour le petit personnel).
Quand la très sérieuse Société Internationale d'Ornithologie lance un concours à la recherche d'un caladrius, aussi rare que dangereux, la compétition fait rage.
Il faut être un peu fou pour s'y lancer, mais Beth, jeune fille brillante, sage et réservée, y voit l'opportunité de gagner une chaire, et de cesser d'être le souffre-douleur de la plus dingue des ornithologues.
Il n'était pas prévu qu'elle entre en compétition avec Devon, aussi brillant et aussi beau qu'elle, mais nettement moins sage.
Et quand il s'avère que différentes personnes ont des intérêts tout aussi différents sur l'issue et le déroulement de ce concours, ça devient du grand n'importe quoi !