Une histoire de parents séparés, c'est classique, mais quand Prune découvre que son père, qu'elle adore, n'a plus de domicile, on bascule sur un sujet rarement abordé en littérature jeunesse.
Il ne s'agit pas ici de s’intéresser au SDF du coin de la rue, mais de voir son propre père se retrouver soudain à la rue.
Un père artiste mais plein de bonne volonté. Qui fait tout pour préserver Prune.
Leurs vacances seront donc imprévues, en camping, pleines de rires.
Dommage qu'en
mars, le temps se gâte vite. Météo plus maladie, le papa va devoir avouer l'inavouable.
Et puis il y a le retour au collège, et il faut assumer, ce n'est pas simple pour Prune.
Mais il y a des personnages si positifs dans ce petit roman que ça redonne de l'espoir.
Curieusement, je suis revenue de la bibliothèque avec deux titres d'Agnès de Lestrade, sans même m'en apercevoir, pris aux hasard dans deux rayons distincts.
Et après C'est l'histoire d'un éléphant, j'ai lu avec autant de plaisir celui-ci, dans un genre bien différent.
Curieusement, je suis revenue de la bibliothèque avec deux titres d'Agnès de Lestrade, sans même m'en apercevoir, pris aux hasard dans deux rayons distincts.
Et après C'est l'histoire d'un éléphant, j'ai lu avec autant de plaisir celui-ci, dans un genre bien différent.
Extraits :
- Papa; si on rentrait ?
[...]
- Prune, on ne peut pas rentrer.
[...]
- Prune, je ne sais pas comment te le dire...
***
Tout à coup, je comprends pourquoi son vélo était chargé comme un baudet. Il porte sa vie sur son dos. Comme un escargot. Sauf que mon père n'est pas un escargot, mais un être humain.
Oskar éditeur 2017
Collection Ottokar 61 pages
Résumé Babelio
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