Quel page turner. Le genre impossible à lâcher, et qu'on regrette d'avoir lu si vite une fois terminé, pas envie de quitter ces gens-là !
L’histoire n'est pas extraordinaire, il y a quelques invraisemblances, et malgré des épisodes plus que douloureux, ça tourne toujours bien, la police fait son travail, les méchants sont toujours empêchés de nuire, etc. (Mais c'est ce que j'aime aussi !)
Une histoire très dans l'air du temps, puisqu’il y est question de femmes battues, voire d'enfants, de familles déchirées. Mais aussi un roman qui fait du bien, avec tous ces personnages positifs, qu'on aimerait suivre encore.
Une famille qui semble exemplaire, riche, appréciée, père chirurgien, mère qui s'occupe des associations, qui reçoit dans une belle maison. Mais que de drames se cachent derrière cette façade.
Des rencontres qui vont aider, d’autres très dangereuses. Quelques personnages chaleureux, une écriture très agréable à lire.
Dès les premières pages, j'ai compris pourquoi cette autrice a un tel succès. Je ne l'avais jamais lue, et si j'ai hésité, je ne regrette vraiment pas. Impossible de poser le roman jusqu'à la fin.
Je me pose juste une petite question : Pourquoi cacher une partie de la très belle couverture par un bandeau mentionnant juste : "Nouveauté". Quelle utilité ? Quelle drôle d'idée !
Extraits :
Incipit :
De l’extérieur, la maison de Lakeview Terrace offrait un tableau idyllique.
***
- Je l'ai cru, dit-il amèrement. [...] Si tu m’avais demandé il y a vingt-quatre heures quelle était la plus heureuse des familles de Lakeview, je t'aurais cité les Bigelow. Et je n'aurais sûrement pas été le seul, mince, Lee ! Maintenant que tu me le dis, c'est vrai ... Il y a des trucs qui auraient pu me mettre la puce à l'oreille.
Sous titre : Certaines blessures ne se referment jamais
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Joëlle Touati
Titre original : Undercurrents
Éditeur : Michel Lafon ; 29/08/2019 NOUVEAUTÉ
Résumé Babelio
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