Inutile de vous dire qu'après mon coup de cœur pour le tome 1 j'attendais avec impatience la suite.
Comme dans le précédent,
nous allons naviguer d'un lieu et d'une époque à l'autre.
Inutile de vous dire qu'après mon coup de cœur pour le tome 1 j'attendais avec impatience la suite.
Comme dans le précédent,
nous allons naviguer d'un lieu et d'une époque à l'autre.
Et pour conclure, des pistes sur le matériel à utiliser pour les différents effets de lignes.
La ligne, c'est la base de tout dessin, de toute écriture, il est donc bien intéressant d'attirer l'attention de l'enfant, de façon ludique, sur les tracés de ces lignes, et de proposer des idées sur tout ce qu'on peut en faire.
Un album à la fois beau et utile, original aussi.
Je suis un peu partagée :
D'abord je n'ai pas apprécié que la couverture mentionne "avec des BD en anglais" alors que non, il n'y aucune BD là-dedans.
Une illustration (toutes les deux ou trois pages) avec une à trois phrases, même si celles-ci sont prononcées par des personnes différentes, ça ne constitue pas une BD, mais un roman illustré.
Or, c'est bien l'idée BD qui nous a incité à l'acheter, car c'est en général ce qui attire les petits lecteurs.
Le roman lui-même m'a plu.
Une petite histoire assez drôle, racontée à deux voix :
Bella est certaine de gagner le concours de mini-miss, organisé par sa mère qui a mis tout en œuvre pour la voir triompher.
Elisa, elle, est certaine de ne pas vouloir y participer, mais son père s'est "fait avoir" par la mère de la précédente et a inscrit Elisa sans lui demander.
De l'humour, une famille hors du commun, la découverte d'un pays presque inconnu pour moi, et surtout, une lecture extrêmement agréable, fluide, bien écrite, un joli "page-turner".
Le Patriarche, c'est le grand-père de Simeon / Himiona. Le jeune garçon nous raconte à la première personne la vie de sa tribu hors du commun.
Ayant découvert la Nouvelle-Zélande avec Les rives de la terre lointaine, j'étais curieuse de la voir par les yeux des Maoris.
J'ai été d'abord surprise car je m'attendais donc à voir l'histoire du point de vue d'une famille maorie traditionnelle. Mais cette famille-là est "convertie", des chrétiens pratiquants et très rigoureux, (des Mormons, mais je ne l'ai compris qu'en le lisant).
Mais on va tout de même entrer profondément dans le quotidien de cette famille maori, des traditions, avec notamment tout ce qui a trait à la tonte des moutons, et c'est très étonnant.
Chaprouchka rencontre Mister Wolfy Loupo. Totalement assoiffé à cause de la chaleur, il demande de l'aide. Que notre demoiselle, s'empresse de lui apporter.
L'histoire se continuerait bien de façon traditionnelle, même la Grand-mama insiste, mais Mister Loupo se refuse à manger qui que ce soit, (par gentillesse, par végétarisme, ou parce qu'il connait et craint la fin de l'histoire ?)
On s'amuse beaucoup à retrouver le conte tout en partant sur d'autres chemins. Et heureusement parce que c'était le dernier loup, il faut le protéger, tout comme la forêt, et tous sont d'accord.