J'aime beaucoup les romans de Sarah Lark, mais je n'avais pas encore découvert ce titre, (peut-être son
L'Archipel lance une belle édition collector dans le cadre des 30 ans Le meilleur de l'Archipel et j'ai eu la chance de le recevoir grâce à la masse critique de Babelio (Bien que ce soit le début d'une trilogie, je n'ai demandé que celui-ci tant j'espérais le lire).
Comme je m'y attendais, je l'ai dévoré sans le lâcher. Une histoire passionnante, même si la trame est assez convenue et les coïncidences nombreuses. Mais des personnages qu'on voudrait ne plus quitter, et une belle découverte de la vie en Nouvelle-Zélande, des relations avec le Royaume-Uni, et de plein d'autres données historiques que j'ignorais totalement avant de découvrir ces romans.
Deux femmes qui n'ont rien en commun, sauf sans doute leur force de caractère, qui n'auraient jamais dû se rencontrer.
Hélène est préceptrice à Londres. Pas grand chose à espérer de la vie.
Quand elle apprend par hasard qu'en Nouvelle-Zélande des "messieurs de réputation irréprochable" cherchent des épouses. Les paroisses servent d'entremetteuses de façon éhontée, mais Hélène se laisse prendre à la belle prose qu'elle reçoit.
Et surtout, on ne lui laisse guère le temps de la réflexion, car il faut convoyer des orphelines, de toutes jeunes filles qu'on arrache à ce qu'elles ont connu pour les envoyer servir de bonnes, quasiment d'esclaves, dans un pays qui se développe à peine.